« Dans le travail d’Orélie, les murs puis le sol parlent, l’air se salue, le paysage est d’argile mais le champ de colza est poussière jaune, un aspirateur est un chien, le parquet un être auquel prendre soin. Les regards disent, les paroles regardent. » Caroline Bourrit

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Préparation de la création « La misère du monde » – Cie*
Premières représentations au TPR – la Chaux-de-Fonds – du 23 au 25 avril 2026